« J’aurais même pas pu dire quelle gueule il avait le président. Il changeait tout le temps. Un masque de clown interchangeable sur un corps politique qui tendait à notre progressive extermination, dans des formes qui ne fassent pas bouger les contours extérieurs de la démocratie. Doigté et élégance, les souris votent pour le chat. »
Laurence Biberfeld