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'...la douleur éprouvée par un sans-abri excède même ce qu’il peut en dire, qu’il ait ou non de l’éducation ou un diplôme. Elle est plus profonde, plus sourde, plus sombre que ces mots morts-nés dont nous disposons pour communiquer chaque jour et peut-être aussi que tous les vocables dont nous nous servons pour écrire… Nous ne croyons plus aux lettres : elles n’ont pas su protéger de la chute ceux qui les maîtrisaient.'
Rhéa Galanaki
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