« Il ne faut pas être surpris qu’il y ait de plus en plus de criminels envoyés à l’asile plutôt qu’en prison : tant qu’on a affaire à des dingues, on n’a pas à se poser de questions. On laisse le fou dans son coin, on le regarde se débattre, comme s’il n’avait rien à voir avec nous. »
Marie-Eve Sévigny