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Monika, la narratrice, travaille dans un institut de beauté, elle reçoit les femmes qui viennent pour leur corps, elle les voit, elle les touche, les évalue, les jauge… Corps des villes, corps des campagnes… Corps inutile, corps en beauté, corps mémoire, corps vivant, corps malade, corps mort, corps de fillettes ou de femmes… par une écriture singulière, Fabienne Jacob n’en oublie aucun.
« Je sais moi quand elles sont belles. Les femmes, c’est mon métier, elles sont belles quand elles sont dans leur vérité. Exactement dans la coïncidence de leurs corps et des années, cela s’appelle la vérité. »
Thème(s) : Littérature française
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