« Aie pitié des riches, lui disait sa mère, ils ne peuvent pas vivre dans l’illusion que l’argent fait le bonheur. »
Darragh McKeon
Vous appréciez nos comptes-rendus, vous souhaitez nous soutenir mais vous n'avez pas la chance d'habiter aux alentours de Vaux-le-Pénil, tout n'est pas perdu ! Vous pouvez commander l'ouvrage de votre choix sur le site LesLibraires et choisir Vaux Livres comme librairie indépendante. Nous nous ferons un plaisir de vous livrer au plus vite. Nous comptons sur vous. |
Michela Murgia nous transporte à nouveau au sein de la culture sarde, de ses croyances et coutumes. Le guide est Maurizio, un gamin solitaire, qui n’attend que l’été pour rejoindre ses grands-parents et pouvoir enfin vivre. Il y retrouve quelques copains et leurs aventures initiatiques leur font découvrir l’amitié, les conflits quand ils se retrouveront au milieu d’une bataille à la Don Camillo entre deux quartiers, la vie quoi ! Pourtant, si vous souhaitez découvrir Michela Murgia et la Sardaigne, préférez l’excellent « Accabadora », un premier roman inoubliable.
"Que soit toujours béni le respect pour la chair de notre chair, mais la rue et le fait d'avoir joué ensemble offrent aux enfants un lien de parenté plus étroit qu'ils n'oublieront pas à l'âge adulte. Il n'y a rien d'intuitif dans la génération : le sang suit des parcours troubles, et aucun gamin ne peut imaginer que partager le nom d'un père suffit pour revendiquer une semence commune."
Fiche #1241
Thème(s) : Littérature étrangère
Traduction :
Nathalie Bauer