« Paniquer c’est se choisir un maître. »
Céline Minard
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« Je voudrais que la nuit me prenne » est illuminé par la voix de l’innocence, la voix de l’enfance. Le temps a passé mais tous ont en souvenir les huit ans de Clémence, heureuse auprès de parents attentionnés, débordants d’amour, de tendresse et d’une légère folie bienveillante. Alors seize années plus tard, Clémence replonge avec délice dans ces journées joyeuses avec la conviction que le souvenir est demeuré intact malgré un voile noir qui suscite un malaise interrogatif. Mais les mots de la petite Clémence nous entraînent dans leur tourbillon repoussant les explications à plus tard, on veut continuer de croire en le bonheur, la vie et l’amour, « C’est ça l’enfance, ma Clémence, que rien ne soit impossible. » Isabelle Desesquelles nous offre une pépite bouleversante d’émotions retranscrivant parfaitement et avec sensibilité les liens entre générations et porte toute son attention au bonheur, à la vie et à sa fragilité.
« Je réalisais combien l’absence est une présence. »
« Je sais moi le mal que peut faire tout ce que l’on ne sera pas. »
« Un enfant, il ne peut pas être que du malheur. »
Fiche #2179
Thème(s) : Littérature française