« … la saleté d’un riche est un style, celle d’un pauvre un stigmate. »
François Bégaudeau
Vous appréciez nos comptes-rendus, vous souhaitez nous soutenir mais vous n'avez pas la chance d'habiter aux alentours de Vaux-le-Pénil, tout n'est pas perdu ! Vous pouvez commander l'ouvrage de votre choix sur le site LesLibraires et choisir Vaux Livres comme librairie indépendante. Nous nous ferons un plaisir de vous livrer au plus vite. Nous comptons sur vous. |
Des années d’expérience ont été nécessaires à Fannie pour que personne ne s’aperçoive qu’elle avait un œil de verre. Ces collègues notent seulement une raideur, des mouvements singuliers. Mais ce soir, elle a rendez-vous. Avec Freddie, un jeune emblématique de Wall Street. Elle arrive en avance, dernier étage d’un parking couvert. Elle attend, il arrive dans son superbe coupé Mercedes. Freddie ne sait pas encore qu’il est au cœur de la vengeance de Fannie, ses parents ont tout perdu en tombant dans le piège des subprimes et il va bien falloir trouver quelques explications à ce drame… Acéré, puissant, brut, un direct du gauche qui vous laisse KO.
Le deuxième texte « Ceux qui construisent les bateaux ne les prennent pas » évoque l’obsession d’un flic, Ingmar, pour retrouver l’assassin de Paul. Vingt-sept ans qu’il est mort, Paul. Son meilleur ami. Il fut le dernier à le voir, à lui parler. C’est lui aussi qui innocenta le coupable idéal. Et depuis l’assassin court toujours. Et Paul le retrouvera, saura dire à tous la vérité. Enfin, Paul tente de s’en persuader…
Fiche #1535
Thème(s) : Littérature française